Quels sont les enjeux de la finance Islamique dans le monde ?

D’ici 2035, la population musulmane est estimée à 2, 1 Milliards d’habitants dans le monde, et près de 450 Millions de jeunes seront sur le marché de l’emploi dans le continent Africain (https://www.adventistemagazine.com/naissances-musulmans/).

Les enjeux de la finance islamique dans le monde sont nombreux. Bien que son encours soit à plus de 2 800 milliards de dollars, la finance islamique ne représente qu’un peu plus de 1 % de la finance mondiale (WWW.LAFINANCEPOURTOUS.COM). Cependant, l’enjeu est à l’échelle de la planète, car de plus en plus d’États autorisent voire imposent la finance islamique [WWW.BEARINGPOINT.COM). La finance islamique est basée sur des principes religieux qui visent à favoriser la prospérité et le partage du risque (WWW.ALUMNEYE.FR). En effet, contrairement à la finance conventionnelle, la finance islamique interdit les intérêts, les investissements dans les secteurs considérés comme immoraux ou encore les transactions spéculatives. Elle repose plutôt sur des mécanismes de partage de bénéfices et de pertes (3P), de financement participatif et de respect de l’éthique. La finance islamique a le potentiel de contribuer au développement économique et social en permettant aux populations qui ne pouvaient pas accéder aux financements traditionnels d’avoir accès à des financements conformes à leurs convictions religieuses. Elle peut également contribuer à l’inclusion financière en offrant des produits et services adaptés aux besoins des populations marginalisées. Cependant, la finance islamique doit encore faire face à des défis tels que le manque de normalisation, la complexité des produits et services proposés, ainsi que la réglementation et la supervision. Elle peut également contribuer à l’inclusion financière en offrant des produits et services adaptés aux besoins des populations marginalisées. Cependant, la finance islamique doit encore faire face à des défis tels que le manque de normalisation, la complexité des produits et services proposés, ainsi que la réglementation et la supervision. Elle peut également contribuer à l’inclusion financière en offrant des produits et services adaptés aux besoins des populations marginalisées.

Mamadou BAH, étudiant en Master2 Finance Islamique et Audit (F.I.A.G) à l’Université Al-Eamar de Guinée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Wordpress Social Share Plugin powered by Ultimatelysocial