REVUE DE PRESSE/Quelques grandes lignes de l’actualité africaine

Les Putschistes annoncent dans la soirée du dimanche 13 août leur intention de « poursuivre » le président renversé Mohamed Bazoum pour « haute trahison » et « atteinte à la sûreté » du pays. La Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) indique ce lundi que ces menaces constituaient une nouvelle « provocation » de la part de la junte. Et les chefs d’état-major des armées ouest-africaines étaient réunis ce jeudi et vendredi pour un meeting à Accra, au Ghana, pour la suite sur l’intervention armée au Niger. 

L’ONU annonce ce jeudi de retirer d’ici la fin de l’année, ses Casques bleus d’un troisième camp au Mali, conformément au plan de départ complet de la Minusma de ce pays du Sahel. 

Soudan  plus d’un million de personne auraient quitté le Soudan pour se rendre dans les pays voisins à cause du conflit qui a éclaté à la mi-avril entre des factions militaires rivales, a déclaré ce mardi dernier l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

selon un communiqué diffusé lundi par l’Agence britannique anti-criminalité. Romy Andrianarisoa, directrice de cabinet du président malgache, a été interpellée le 10 août à Londres, elle est soupçonnée de demander des pots-de-vin pour l’attribution de licences d’exploitation au groupe minier Gemfields.

À Dakar, Ousmane Sonko, en grève de la faim depuis son incarcération le 31 juillet, fut admis en service de réanimation de l’hôpital principal de Dakar dans la nuit de mercredi à jeudi à la suite d’un malaise, ont annoncé ses avocats et son parti.

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En Guinée le mois d’Août annonce sa rentré avec des séquences d’inondations qui occasionne des pertes matériels et de vie humaine à travers le pays. 

Dans un entretien exclusif accordé à France24 et RFI au Nigeria par Hassoumi Massoudou, chef de la diplomatie nigérienne, Mr Massoudou estime que, le président Mohamed Bazoum est victime d’une “Prise d’otage” et “une séquestration” et que la situation est “réversible “. Il précise sur le plateau que “l’intervention militaire est dans l’agenda de la CEDEAO” il a souligné qu’il y a toujours une possibilité d’éviter l’intervention militaire car il estime que tout est “négociable avec la junte militaire “ ce proche du président Mohamed Bazoum,  nous relate les conséquences de la crise Nigérienne depuis le Nigeria où  Il se réfugie depuis le putsch au Niger.

  Le dialogue aura t-il sa place entre la junte militaire du Niger où Les CEDEAO sera dans l’obligation de mettre ses menaces contre les Putschistes en exécution?

KEITA MARIAMA YOUSSOUF POUR RÉVEIL-AFRICAIN.COM

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