Dans le cadre de renforcement de la cohésion sociale et la réconciliation nationale en Guinée, nations- unies droit de l’homme est au chevet des journalistes de la région forestière.
Une formation a été organisée par cette institution et ses partenaires qui a pour thème,
« Renforcement des capacités des journalistes pour une couverture médiatique responsable du procès du 28 septembre 2029, en faveur d’une réconciliation nationale inclusive en Guinée. »
Prenant la parole, le chef d’unité de promotion à ONU DH, est revenu sur l’objectif de cet atelier de formation.
«Pourquoi une activité de renforcement de capacités des journalistes au tour de la lutte contre l’impunité en général et au tour du procès 28 septembre? … Il était bon que nous venions nous accordé avec vous sur des notions essentielles à l’exercice de votre métier oh! Combien important. Le contexte socio-politique, qui est celui de notre pays a tous la Guinée, comment l’information, la circulation de l’information et la diffusion de l’information soient entourées de la plus grande circonflexion. Nous sommes convaincus que , les professionnels que vous êtes, a l’issue de cette formation saurez n’est-ce pas, mettre a profit que vous aurez appris ici», a expliqué Éric-Aimé Sémien. Avant de poursuivre sur l’importance de la formation dans la pérennisation de la démocratie
«Un citoyen mal informé, est un danger pour la démocratie un citoyen bien informé contribue activement à l’exercice de droit et libertés. Mesdames et messieurs, vous êtes des hauts responsables de la vie socio-politique de la Guinée, et aujourd’hui pour la réussite de ce procès et des actions qui en découleront, votre rôle est très important. En matière de la lutte contre l’impunité, ONU DROIT DE L’HOMME n’a cessé de dire, le plus important n’est l’action elle même, mais plutôt la façon dont elle est perçue. La justice ne doit pas seulement être faite, la justice doit être vue entrain d’être fait».
Dans son discours de l’ouverture de cet atelier, le directeur de cabinet du gouvernorat de N’Zérékoré s’est a mentionné rôle des hommes de médias dans la société.
«Je suis vraiment satisfait de présider cette cérémonie, au nom de son excellence Monsieur le gouverneur de la région administrative de N’Zérékoré le contrôleur général de la police Lamine Keita. Vous avez un rôle sensible les journalistes. Cet atelier est très important, parce que le procès 28 septembre est un procès sensible qui touche tout un chacun. On a vu les différents intervenants qui ont passé devant la cour, mais il faut reconnaître que c’est grâce à vous que ça s’est bien passé. C’est vous qui avez passé le message au niveau de la nation. Si le droit de l’homme a pensé de venir renforcer vos capacités, ont doit dire grand merci aux organisateurs», a-t-il mentionné.
À signaler que cet atelier de formation qui a touché 30 journalistes dont, 8 femmes a démarré ce 19 juin et prendre fin le 20 juin 2023.
ET c’est dans la salle de conférence d’un hôtel de la place qui a servi de cadre.
À la sortie de cet atelier de formation les participants qui sont des journalistes venus de kissidougou, guéckédou, Macenta, Beyla, Lola, Yomou, plus ceux de N’Zérékoré se disent très satisfaits de la qualité de la formation obtenue.
De N’ZÉRÉKORÉ, SORY CONDÉ Pour Reveil-Africain.com