Désormais affaibli, Evrad Somda toujours dans le viseur d’IBrahima Traoré

Le chef d’état-major de la Gendarmerie du Burkina Faso, le lieutenant-colonel.Evrad Somda, est dans le collimateur du capitaine Ibrahim Traoré, qui veut le neutraliser à tout prix. L’information s’étant répandue comme une traînée de poudre, la stratégie a changé: sauter le verrou de protection du patron des pandores. C’est ainsi que le lieutenant-colonel Cheick Amza Ouattara, commandant de la Légion spéciale de la Gendarmerie a été accusé de tentative de coup d’Etat et mis aux arrêts. Pour ceux qui l’ignorent, l’officier supérieur Cheick Amza Ouattara commande toutes les unités opérationnelles de la Gendarmerie. Il a sous ses ordres les unités  d’élites et les meilleurs hommes en termes de combats et d’intervention de  la Gendarmerie. C’est donc un homme redoutable, qui a été mis hors d’état de nuire. Et c’est également lui qui peut mettre en branle les troupes pour contrer toute velleité de la bande à IB contre la Gendarmerie. 

En baissant les bras et en regardant opérer l’arrestation de Amza sans broncher, Evrad Somda s’est tiré une balle au pied. Désormais, il est déshabillé et complètement nu. Les sbires du capitaine Traoré peuvent maintenant exécuter tranquillement leur plan initial: arrêter Evrad ou le limoger puis dissoudre la Gendarmerie.

Maiga-la-vermine a déjà  commencé ce qu’il sait faire le mieux de son souffle de vie: la  propagande et le mensonge. 

Dans une vidéo, il a  soutenu que son père fut policier et que les pandores ne valent pas mieux que les flics. Une façon de préparer les esprits à la dissolution du corps et à sa fusion avec la police. Le sulfureux activiste du MPSR2 a   rajouté une couche en accusant la Gendarmerie d’avoir fait venir des mercenaires pour les former. Or,  il est de notoriété publique, dans le cadre d’un partenariat entre le Burkina Faso et les États-Unis, les Américains forment régulièrement  nos pandores pour  la sécurité ‘nationale et la lutte  contre le terrorisme. Mais quand le sieur Maiga  commence à diffuser des allégations mensongères, c’est le signe annonciateur d’une tempête. Malgré ses mensonges à répétitions,  ses dénigrements, ses accusations graves sans fondement susceptibles de mettre à rude épreuve la cohésion sociale, il se trouve des Burkinabè qui ont encore le temps d’écouter ce sinistre individu, prêt à faire brûler le pays des hommes intègres pour ses intérêts personnels. 

On se demande ce qui est arrivé aux  Burkinabè surtout sa jeunesse, qui se laisse manipuler par cette ordure de Maiga.

Le Burkina de Maurice Yameogo, de  Thomas Sankara, de Blaise Compaoré, de Joseph Ki Zerbo, de Norbert Zongo  ne mérite pas ça.

SAMIR MOUSSA

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